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Re: Cartes postales

Publié : 21 nov. 2020, 14:26
par Hector
Sur ta carte de Roquefort la Bedoule, une Station service ASTRA ... Desmarais frères... avant 1965 et l'absorption par Total

Re: Cartes postales

Publié : 21 nov. 2020, 17:04
par Philou 33
Hector a écrit : 21 nov. 2020, 14:26 Sur ta carte de Roquefort la Bedoule, une Station service ASTRA ... Desmarais frères... avant 1965 et l'absorption par Total
Je connais ces pompes, le super était de couleur bleue

Re: Cartes postales

Publié : 21 nov. 2020, 18:48
par Hector
Absolument ! par contre, elle étaient plantées droites ! elles !
Elles étaient opérées par de vrais pompistes, les deux cylindres en haut étaient en verre, entre les deux un grand bras de pompe, çà remplissait le premier, le cadran central indiquait le nombre de cylindres remplis, avec un "ding" à chaque changement, puis l'autre, et le carburant passait alors du cylindre dans le réservoir de votre auto.
il y en avait une Cours Carnot à Elbeuf, avec un monsieur à casquette avec un bel emblème Azur... enfant, j'étais fasciné par sa maestria !
Dans mes jobs d'étudiant, j'ai été pompiste de nuit, quai de Valmy dans le 10é... mais les pompes étaient électriques.

Re: Cartes postales

Publié : 22 nov. 2020, 08:24
par Philou 33
De plus tu avais une petite flèche que tu positionnais sur le litrage voulu, les cylindres en verre contenait 5 litres

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Re: Cartes postales

Publié : 22 nov. 2020, 09:20
par Philou 33
Bonjour à tous ! Image

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Ay Champagne

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Aujourd'hui

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Philou

Re: Cartes postales

Publié : 22 nov. 2020, 11:52
par Philou 33
La mémoire rouge d'Ay-Champagne oubliée

Comme un « mauvais passé » qu'il ne faudrait pas déterrer : plus d'un siècle après une émeute révolutionnaire des vignerons, la mémoire rouge d'Aÿ-Champagne (Marne) peine à se frayer un chemin dans cette commune au cœur d'un vignoble aujourd'hui parmi les plus prestigieux du monde.

En 1911, les tensions s’accumulent dans le vignoble marnais entre vignerons pauvres et négociants richissimes. L’envol des ventes pousse les grandes maisons à élargir leur zone d’achat de raisins, de l’Aube jusqu’au Midi, déstabilisant un vignoble déjà malmené par trois mauvaises récoltes successives, des attaques parasitaires et la chute des revenus.

Dans la nuit du 11 au 12 avril 1911, la colère se transforme en émeute. A Aÿ, plusieurs milliers de vignerons dégradent, saccagent et parfois brûlent les maisons de négociants suspectés de s’approvisionner hors de Champagne. Il faudra l’arrivée de 15 000 soldats dans l’arrondissement d’Épernay pour ramener le calme.

Cet événement semble pourtant noyé par « une volonté d’oubli », note aujourd’hui Aurélie Melin, ethnographe et collecteuse de mémoire à l’Institut des vins de Champagne d’Aÿ. « Les enfants et les petits-enfants ont tenté de se débarrasser d’une histoire trop lourde, souvent jugée déshonorante. La destruction des souvenirs, des traces, des photos ou autres papiers brûlés concerne toutes les familles. On ne remue pas le mauvais passé ! » ajoute-t-elle.

Si le coup de sang du 11 au 12 avril 1911 demeure sous le boisseau de la mémoire collective, il n’en reste pourtant pas moins l’élément fondateur de deux piliers de la filière : la reconnaissance en 1927 de la zone d’appellation Champagne telle qu’on la connaît aujourd’hui et la nécessité du dialogue entre vignerons et négociants, formulée en 1941 par la création du Comité interprofessionnel des vins de Champagne.

Ce brassage des mondes trouve l’une de ses illustrations inattendues dans la quasi-cogestion de Moët-et-Chandon entre Robert-Jean de Vogüé, son emblématique patron de 1930 à 1972, surnommé « le Marquis rouge », et Gaston Martin, le tout aussi emblématique responsable CGT de la maison de 1922 à 1974.

De ce véritable laboratoire social sont nés l’intéressement, la retraite complémentaire ou les primes qui font aujourd’hui de la convention collective du champagne « l’une des plus sociales de France, voire d’Europe », selon Bernard Beaulieu, secrétaire général de la CGT Champagne de 1975 à 2007 et maire de Montigny, près d’Aÿ.
« Cette mémoire oubliée, c’est catastrophique ! »

Gaston Martin, en assumant après-guerre deux mandats de conseiller général d’Aÿ, fut aussi le premier communiste à entrer au conseil général de la Marne. L’effervescence syndico-révolutionnaire trouvait une traduction politique qui perdurera jusqu’à la fin des années 1980. « J’ai du mal à comprendre le rejet de cette histoire. Mais il y avait une certaine honte des vignerons de l’époque à se rappeler de cette époque de misère », observe Bernard Beaulieu. « Mon grand-père me rappelait qu’à l’époque, on échangeait un hectare de vigne contre 50 ares de terre à blé. La plupart des enfants de vignerons quittaient l’exploitation », se souvient-il. Et d’évoquer les nombreux « double actifs » qui, de la fin du XIXe jusqu’au milieu du XXe siècle, partaient travailler aux florissants ateliers ferroviaires d’Épernay faute de pouvoir vivre de leurs vignes. Ce sont eux qui, en 1911, renseignent les vignerons marnais de la provenance des jus extérieurs arrivant à Épernay !

« Les mondes de la CGT du rail et des ouvriers des maisons de champagne et celui des vignerons ont toujours été très liés. La mémoire rouge y est existante, cohérente et constructive », rappelle Aurélie Melin. « Ce passé s’estompe petit à petit », constate lui aussi, mais sans amertume, Dominique Lévêque, maire socialiste d’Aÿ depuis 1989, vainqueur à l’époque de la dernière liste communiste.

« Cette mémoire oubliée, c’est catastrophique ! On s’est embourgeoisé », s’emporte Bernard Beaulieu. En témoigne le site de l’ancienne maison Bissinger, incendiée en 1911, où s’élève de nouveau une villa du même nom qui héberge l’Institut des vins de Champagne : dédié à un œnotourisme florissant, il n’y est pas question de cette « mémoire rouge ».

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Philou

Re: Cartes postales

Publié : 22 nov. 2020, 23:21
par TheStone
Philou 33 a écrit : 22 nov. 2020, 08:24 De plus tu avais une petite flèche que tu positionnais sur le litrage voulu, les cylindres en verre contenait 5 litres

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.... 235 .... c'est quoi :?:

:idea: .... le prix du litre en euros :?:
:oops: :arrow: :arrow: :arrow:

Re: Cartes postales

Publié : 22 nov. 2020, 23:39
par Hector
TheStone a écrit : 22 nov. 2020, 23:21
Philou 33 a écrit : 22 nov. 2020, 08:24 les cylindres en verre contenait 5 litres

[2.35 ?
:idea: .... le prix du litre en euros :?:
:oops: :arrow: :arrow: :arrow:
en ancien francs ? ou en lires, l'auto semble immatriculée à Milan... en tous cas, çà a un poil augmenté !

Merci Philou33 pour ces images !... il faudrait se faire un truc sur les stations service, il y a des merveilles grâce aux publicités de l'époque !

Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 00:19
par TheStone
:idea: .... un petit effort de rédaction est demandé pour que l'on attribue à César ce qui lui appartient :wink:

Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 10:06
par Philou 33
Bonjour à tous ! Image

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Dijon Place Darcy

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Aujourd'hui

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Philou

Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 10:18
par Dalton
Salut & merci Philou .

J'adore tes CP , principalement pour les voitures anciennes .

Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 10:37
par Philou 33
Et le tram Fuchsia ?? :lol: :lol:

Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 13:25
par Dalton
Re

Jamais pris de tram de ma vie et ça ne risque pas de changer :mrgreen:

Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 16:08
par Philou 33
Dalton a écrit : 23 nov. 2020, 13:25 Re

Jamais pris de tram de ma vie et ça ne risque pas de changer :mrgreen:
Pourtant bien pratique. Nous avions un maillage de Bordeaux et une partie de sa banlieue assez fourni

Notre ancien maire Chaban-Demas avait eu l' idée saugrenue de tout supprimer dans les années 60, pour privilégier l' automobile en ville. :lol:

Et maintenant c' est l' inverse on rejette l' auto et on réimplante le tram :lol:
C' est vrai qu' il est beau notre tramway

Avant

Bordeaux - Place Gambetta - 5 août 1950 - La place Gambetta était un point de passage majeur du réseau, d'où les multiples lignes aériennes pour faciliter la maintenance
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Place des Quinconces le long des quais
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Maintenant
le long des quais
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Sur le pont de pierre interdit maintenant aux autos
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Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 16:11
par Philou 33
Revenons au pays de la moutarde

Dijon : dix choses que vous ne savez pas sur les rues dijonnaises
Êtes-vous incollable sur Dijon, son histoire et ses artères ? Découvrez notre top dix des anecdotes sur les rues dijonnaises.


Dijon en 1892, selon les plans collection JC Barre. Photo Dijonavant.com



Il y a un peu plus d’un millier de voies à Dijon intra-muros. Dans le détail, il y a très exactement 859 rues, 116 impasses, 75 allées, 67 places, 56 boulevards et 46 avenues, selon le site de l’annuaire des mairies de France.

Rue D'Auxonne

C’est l'artère la plus longue de la ville. La rue, d’après les données fournies par Google Maps, mesure 2,3 km depuis la place Wilson jusqu'à la rue de Neuilly. Le quai Nicolas Rolin arrive juste derrière avec 1,3km. C’est au numéro 16 du quai qu’est né Gustave Eiffel. Il passera sa petite enfance auprès de sa grand-mère maternelle, rue Turgot.

16 rue d' Auxonne
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Rue des Godrans

Au XIVe siècle, la grande rue des Champs, aujourd’hui rue des Godrans, était très fréquentée des bourgeois. C’est là que s’établissait, en effet, “le bordel municipal”, aux tarifs plus attractifs que les bordelages privés. La patronne de l’établissement public, baptisée ironiquement “la mère abesse”, devait verser, chaque mois, un salaire à la mairie, dont le montant était décidé lors des conseils municipaux.

Place Grangier

En levant les yeux, il est possible d’apercevoir des pagodes sur le toit du bâtiment qui fait face à l’hôtel des postes, place Grangier. Ce style architectural, de type Art nouveau, est l’œuvre de Louis Perreau, qui a érigé le bâtiment fin XIXe. Ces pagodes n’ont donc aucun rapport avec un quelconque quartier asiatique historique, mais elles donnent à la place une touche espagnole en rappelant le travail de Gaudi, l’un des plus grands héritiers de l’Art nouveau. Ce bâtiment et l’hôtel des postes sont construits sur l’ancien emplacement du château de Dijon, construit par Louis XI.

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Rue Neuve-de-Suzon

Cette rue a disparu de Dijon. Elle a été renommée en rue de Soissons et fait désormais angle à la rue de la Préfecture et amène à la place de la Banque. Toutefois, il est toujours possible d’en voir l’inscription gravée dans le mur en pierre, entre les deux plaques contemporaines. Deux autres rues ont changé de nom au fil des siècles et à la demande de la population : la rue du Chemin-Noir et la rue de Nouméa.

Rue Louis-Pasteur

L’artère qui relie la rue Chabot-Charny à la place des Cordeliers fait honneur au savant français du XIXe siècle. Mais, le scientifique a une histoire particulière avec la ville. Né à Dole, il passe une partie de ses études à Besançon, avant de venir comme maître d’étude, le “pion” de l’époque, au lycée de Dijon, actuel collège Marcelle-Pardé. Il y passera son baccalauréat en mathématiques en 1842, avant de repartir à Paris. Il repassera par la cité des ducs en 1848 pour enseigner les sciences.

Le collège
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Rue de Tivoli

La longue rue qui relie la rue de la Manutention et la rue Chabot-Charny porte les derniers vestiges du castrum gallo-romain. Cet immense rempart, d’une hauteur de dix mètres et d’une largeur de quatre, délimitait les premiers fondements de la ville qui s’est construite dès le IIIe siècle. Ce castrum permettait de protéger la commune contre les invasions barbares. Un immense pan de mur est resté debout, au début de la rue. Un autre est conservé au sein du musée François-Rude. Le vestige d’une tour reste aussi, mais il est situé dans un jardin particulier du quartier Saint-Anne.

Place Émile-Zola

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Ce lieu de vie convivial et nocturne est une des plus belles places de Dijon. Avec ses terrasses ombragées et ses restaurants, rien ne laisse à penser qu’avant 1921, cette place s’appelait la place du Morimont. L’endroit accueillait l’échafaud des condamnés à mort au Moyen Âge.



À Dijon, sur les près de 1 300 noms de rues comptabilisés, seuls 43 d’entre eux sont des noms de femmes. Une des dernières plaques féminines apposées est celle de l’allée Juliette-Dubois, ancienne résistante dijonnaise. Sa famille aura soutenu son dossier auprès de la Ville durant plus de deux ans avant que la rue ne soit inaugurée dans l‘écoquartier Hyacinthe-Vincent, en juin 2012.

Rue de l’Isle

Cette rue fait référence à l’île sur laquelle était situé l’hôpital général. Peu le savent, mais l’établissement était entièrement entouré par l’Ouche, qui se séparait en deux à cet endroit, faisant de la zone un quartier insulaire. Le bras de la rivière a été fermé lors de la deuxième moitié du XXe siècle.

Comment choisit-on les noms des rues ?

Sous l’Ancien Régime, les noms de rues désignaient essentiellement des données géographiques ou de direction. Au XIXe siècle, la ville s’est agrandie, passant de 31 000 habitants en 1867 à 102 000 habitants en 1946. Les lieux-dits, qui se sont fait aspirer, ont permis des dénominations faciles : rue Champmaillot, rue des Champs-Perdrix… C’est également au XXe siècle que la mode de placer les rues sous des parrainages illustres ou des événements historiques est devenue pratique courante. Aujourd’hui, le nom d’une nouvelle rue est décidé en conseil municipal.

Philou

Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 16:30
par Hector
Philou, vous autres Bordelais n'êtes pas les seuls à avoir vu les trams ou engins de même genre disparaitre... Le Havre était équipé en Trolley-bus, à perches, qui ont été démontés juste avant l'inauguration de la centrale électrique, Ballot non ?
Mon Oncle Edmond travaillait, pour l'administration de ces lignes, elles avaient été démontées pour des soucis de fourniture électrique !

au Havre, le rues sont larges et bien ventées, les bus sont supportables, mais c'est dommage !

Re: Cartes postales

Publié : 23 nov. 2020, 16:51
par Philou 33
Woui! mais mÔa ! je mets des photos Image

J' ai complété Dijon :lol: :lol:

Re: Cartes postales

Publié : 24 nov. 2020, 09:21
par Philou 33
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Nanteau sur Lunain ( 77)

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Aujourd'hui

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Philou

Re: Cartes postales

Publié : 24 nov. 2020, 15:18
par Hector
Hello Philou33 !

La demoiselle qui ouvre cette session fait penser à celle que Georges à rencontré à la claire fontaine :

Dans l’eau de la claire fontaine
Elle se baignait toute nue.
Une saute de vent soudaine
Jeta ses habits dans les nues.
En détresse, elle me fit signe,
Pour la vêtir, d’aller chercher
Des monceaux de feuilles de vigne,
Fleurs de lis ou fleurs d’oranger.
Avec des pétales de roses,
Un bout de corsage lui fis.
La belle n’était pas bien grosse :
Une seule rose a suffi.
Avec le pampre de la vigne,
Un bout de cotillon lui fis.
Mais la belle était si petite
Qu’une seule feuille a suffi.
Ell’ me tendit ses bras, ses lèvres,
Comme pour me remercier...
Je les pris avec tant de fièvre
Qu’ell’ fut toute déshabillée.
Le jeu dut plaire à l’ingénue,
Car à la fontaine, souvent,
Ell’ s’alla baigner toute nue
En priant Dieu qu’il fît du vent,
Qu’il fît du vent...

ressemblant non ?

Re: Cartes postales

Publié : 25 nov. 2020, 09:15
par Philou 33
Bonjour à tous ! Image

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Paris Porte St Denis

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Aujourd'hui

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Philou

Re: Cartes postales

Publié : 25 nov. 2020, 14:02
par Hector
et c'est qui qu'est née dans l'faubourg St D'nis ? qu'est une vrai môme de Pâris !
c'est la Miss !

et moi pas très loin ! mais bien plus tard !

Re: Cartes postales

Publié : 25 nov. 2020, 16:42
par Philou 33
J' ai pas trouvé de vidéo

https://www.youtube.com/watch?v=_q4dz8RQOMQ

Avec Jules Berry André Lefaur

https://www.youtube.com/watch?v=-8wlxLUghKo

Re: Cartes postales

Publié : 25 nov. 2020, 17:09
par Hector
https://youtu.be/xMYj6MYZEO4?t=49
en live un peu différé !
Pardon du doublon Philou, on a du chercher la meme chose, pas à la même vitesse ! ( mais bientôt la fibre, et je redeviendrai le Maitre du Monde !
Je ne sais pas bien écrire le rire sardonique du méchant, mais je vais m'entrainer ! ( Yark yark !)

Re: Cartes postales

Publié : 26 nov. 2020, 09:37
par Philou 33
Bonjour à tous ! Image

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Dôle ( Jura)

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Avant

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La place aux fleurs

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Flaner dans le coeur historique de Dole est un plaisir car cette ville agréable se visitant aisément à pied nous révèle un patrimoine intéressant et varié.
Ville natale de Pasteur, située à l'orée de la forêt de Chaux l'une des plus vastes de France (20 000 ha) bordée d'eau, Dole nous réserve de belles surprises !
Ainsi "les commères" une oeuvre de Jens BÖETTCHER sculptée en 1982 trône place aux fleurs. Curieuses ces commères "chapeautées" tournant le dos à la place, assises sur des chaises, affichant une insolite nudité ; elles semblent guetter le passant et l'on est irrésistiblement attiré par cette scène pleine d'humour !
Sculptée dans le bronze cette inscription : Bronze Strassacher Hemsbrunn
Jens BOETTCHER
La place aux fleurs située à deux pas de la basilique Notre-Dame est accessible par le rue des vieilles boucheries ou par la treige de la Cordière (l'une des étroites venelle à ciel encore présentes à Dole.
Cette place accueille aussi la fontaine à ''l'enfant à l'amphore'' oeuvre du Jurassien François-Marie Rosset (1805).

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Fontaine l'enfant à l'amphore, oeuvre du Jurassien François-Marie Rosset (1805), Dole - France

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Philou

Re: Cartes postales

Publié : 27 nov. 2020, 01:02
par Hector
mais quand cessera-t-on d'imposer les corvées d'eau à ces pauvres chérubins ?