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Hector · Message non lu par **Hector** » 03 mai 2020, 14:38

Hello Philou !

le second bâtiment, en forme de tour... c'est un silo / pigeonnier ? On ne voit pas bien à quoi sert l'escalier... tu saurais commenter l'image ?

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 03 mai 2020, 17:04

C' était dans l' Aveyron

A la limite du lot et de l’Aveyron, sur les terres Aveyronnaises, la frontière étant matérialisée par la rivière Lot, fleurissent dans de nombreuses fermes de remarquables pigeonniers typiques de cette contrée. Le plan en est quasi-systématique. L’état de ce patrimoine laisse souvent à désirer.
Au même titre que les "cazelles" (abris souvent circulaires couverts en lauzes implantés dans les paturages sur le causse) , les "gariottes"(la même fonction mais inclues dans les murs de cloture des champs en pierres sèches) les bories (habitat construit en pierres sèches), les murs de pierres sèches, les moulins les fontaines, et parfois même les églises, aidons tous à la sauvegarde de notre petit patrimoine rural. Nos enfants sont concernés.

ci-dessous le saut de la mouline

Point de vue sur la vallée du Lot. En face, le village de Montbrun et son château. Dans une belle plaine fertile, coule lent et majestueux le Lot. Il amenait autrefois une importante flottille de barques qui convoyait jusqu'à Bordeaux les fromages d'Auvergne, le charbon de Decazeville et les vins de Cahors. A cet endroit, finit le département de l'Aveyron et commence celui du Lot. Le point de vue y est superbe et dans ce milieu d'une beauté prenante est née une attachante légende. "Pour sauver l'amour de deux jeunes gens menacé par la haine des parents, un saint ermite y sacrifia sa fidèle compagne, sa mounine (guenon) en la précipitant dans l'abîme".
Du haut du Causse, ne manquez pas ce paysage unique ouvrant sur le département du Lot. La rivière coule majestueuse, libre de gambader dans une large pleine. A peine contrainte par une écluse qui doit se souvenir des gabares chargées du charbon et remontant depuis Bordeaux après avoir fait le plein de morue salée. Ce détail faisant de Decazeville, à 300,00 km de la mer, la capitale du Stock Fish !

Sur la route un Space

Miharu59 · Message non lu par **Miharu59** » 03 mai 2020, 18:55

Salut Philou 33 sur ta dernière photo avec ta charmante Lili , ce n'est pas un space mais un scenic 2

on le confond facilement avec le space IV phase 1

Sinon merci pour le commentaire et les légende

Message non lu par **TheStone** » 03 mai 2020, 22:39

.... eau pour Madame, bière pour Monsieur

Hector · Message non lu par **Hector** » 04 mai 2020, 00:39

En pays de Caux les pigeonniers sont presque tous classés ou au moins à l'inventaire des "constructions remarquables". Cà permet en première urgence de les débarrasser de la crainte de les voir démolis pour faire de la place... Des lois anciennes jamais abrogées protègent les pigeonniers et les "Coulonneux" : on ne peut déplacer un tel édifice, ou un élevage tant que les pigeons sont encore en activité pour la messagerie !
Alors des associations entrainent les bestiaux à rejoindre leur nids...
Je me suis occupé pendant quelques années de l'informatique d'une société de métallurgie dont les patrons étaient des coulonneux enragés !
je leur avait fait une appli pour gérer leur cheptel, ce qui m'avait permis d'assister à des lâchers.
Pébroc indispensable ! plusieurs dizaines de volatils larguant du lest au départ, çà peut tacher ! mais quel spectacle !

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 04 mai 2020, 08:59

Bonjour à tous !

:Philou:

Message non lu par **EAime** » 04 mai 2020, 10:06

C'est marrant, ce coin-là me dit quelque chose..

ambubateau · Message non lu par **ambubateau** » 04 mai 2020, 10:16

ça ressemble beaucoup à la place des Vosges à Épinal....

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 04 mai 2020, 10:17

La maison Menier

C'est Emile-Justin Menier qui fonde en 1816 la Maison Menier. Celle-ci, installée à l’origine dans le quartier du Marais à Paris (rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie), vend des produits pharmaceutiques et des médicaments à base de chocolat aux vertus thérapeutiques.

En 1825, la firme déménage à Noisiel, sur le site de l’ancien moulin seigneurial1. En 1836, elle est la première à créer la tablette de chocolat. C'est aussi le moment de l’essor de la production et des effectifs de l’entreprise qui passent de 50 ouvriers en 1856 à 325 en 1867 En 1867, Émile-Justin, fils d'Antoine Brutus Menier, a deux activités : la fabrication de chocolat à Noisiel et la pharmacie à Saint-Denis. Il décide de se concentrer sur cette première activité et cède l'usine dionysienne à la Pharmacie Centrale de France2. La cheminée, encore en place à côté du Stade de France, affiche le « M » de Menier.

Le site de Noisiel est développé. Ils seront 2 200 ouvriers à produire 70 tonnes de chocolat par jour en 1900 et encore 1 500 dans les années 1950.

Le moulin est conçu par l'architecte Jules Saulnier et construit (1869-1872) par l'ingénieur Armand Moisant. C'est l'un des premiers bâtiments au monde à structure métallique apparente. Il est aussi caractérisé par les motifs de sa façade en briques émaillées1.

À la mort d'Émile-Justin, en 1881, ce sont ses fils, Gaston, Albert et surtout l'aîné, Henri, qui assurent les destinées de l'entreprise familiale. Ils augmentent les campagnes publicitaires : peinture murale, affiche avec la petite fille (1893), objets dont la petite tirelire en forme de kiosque. La marque mène des campagnes en Grande-Bretagne, en Suède, et un peu partout en Europe. En 1907, la marque est présente durant l'exposition coloniale à Nogent-sur-Marne : sur le plan de la communication, le chocolat est alors associé à l'Afrique, où, en effet, d'importantes plantations ont été effectuées, ce qui permet de baisser les coûts d'importation depuis le Nicaragua où les Menier possèdent des terres.

La fortune des Menier est telle qu'Henri Menier, qui est par ailleurs maire de Noisiel, consacre une grande partie de son temps et de son argent à ses deux passions que sont le yachting et la course automobile. Il est le maître d'équipage qui chasse en Villers-Coterets.1877/1836. En 1895, il achète même l'île d'Anticosti dans le golfe du Saint-Laurent au Canada pour en faire une réserve privée de chasse et de pêche et y fonde Port-Menier. En avril 1913, il acquiert le domaine et le château de Chenonceau qui, à sa mort, au mois de septembre suivant, est transmis à son frère Gaston, qui revend l'île d'Anticosti à une compagnie forestière canadienne (Wayagamack Pulp and Paper Company) en 1926. La chocolaterie cesse d'innover tandis que débute la Première Guerre mondiale. Gaston meurt en 1934, ses fils Georges, puis Jacques, lui succèdent, mais le Front populaire fait perdre la mairie de Noisiel à la famille en 1938.

Après la Seconde Guerre mondiale, la firme commence à décliner, concurrencée par les barres chocolatées venues des États-Unis. Un an après la mort d'Hubert Menier (le troisième enfant de Georges) survenue en 1959, l'entreprise est contrainte de fusionner avec la société Rozan qui rachète la firme dans sa totalité en 1965. Deux ans plus tard, Antoine, le frère aîné d'Hubert et qui était cogérant de l'entreprise depuis 1953, meurt sans enfant à Paris, le 12 août 1967 à l'âge de 62 ans.

En 1971, Menier est rachetée progressivement par Rowntree Mackintosh (créateur des célèbres Smarties en 1937 et de la barre Lion en 1976), laquelle est acquise à son tour en 1988 par Nestlé. Le Moulin Saulnier est classé Monument historique en 1992.

Depuis 1996, le site Menier, au bord de la Marne, est le siège de la division pour la France de Nestlé.

La marque Menier subsiste encore grâce à ses tablettes de chocolat pâtissier, ainsi qu'au chocolat en poudre, mais elle n'est plus guère mise en avant, notamment parce que la marque n'est connue que sur le marché français. La multinationale lui préfère donc son produit « Nestlé dessert ».

:Philou:

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 04 mai 2020, 10:20

ambubateau a écrit : ↑04 mai 2020, 10:16 ça ressemble beaucoup à la place des Vosges à Épinal....

Woui! je pense que je l' avais déjà postée

camion rouge · Message non lu par **camion rouge** » 04 mai 2020, 12:15

Philou 33 a écrit : ↑04 mai 2020, 10:17

La maison Menier

C'est Emile-Justin Menier qui fonde en 1816 la Maison Menier. Celle-ci, installée à l’origine dans le quartier du Marais à Paris (rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie), vend des produits pharmaceutiques et des médicaments à base de chocolat aux vertus thérapeutiques.

En 1825, la firme déménage à Noisiel, sur le site de l’ancien moulin seigneurial1. En 1836, elle est la première à créer la tablette de chocolat. C'est aussi le moment de l’essor de la production et des effectifs de l’entreprise qui passent de 50 ouvriers en 1856 à 325 en 1867 En 1867, Émile-Justin, fils d'Antoine Brutus Menier, a deux activités : la fabrication de chocolat à Noisiel et la pharmacie à Saint-Denis. Il décide de se concentrer sur cette première activité et cède l'usine dionysienne à la Pharmacie Centrale de France2. La cheminée, encore en place à côté du Stade de France, affiche le « M » de Menier.

Le site de Noisiel est développé. Ils seront 2 200 ouvriers à produire 70 tonnes de chocolat par jour en 1900 et encore 1 500 dans les années 1950.

Le moulin est conçu par l'architecte Jules Saulnier et construit (1869-1872) par l'ingénieur Armand Moisant. C'est l'un des premiers bâtiments au monde à structure métallique apparente. Il est aussi caractérisé par les motifs de sa façade en briques émaillées1.

À la mort d'Émile-Justin, en 1881, ce sont ses fils, Gaston, Albert et surtout l'aîné, Henri, qui assurent les destinées de l'entreprise familiale. Ils augmentent les campagnes publicitaires : peinture murale, affiche avec la petite fille (1893), objets dont la petite tirelire en forme de kiosque. La marque mène des campagnes en Grande-Bretagne, en Suède, et un peu partout en Europe. En 1907, la marque est présente durant l'exposition coloniale à Nogent-sur-Marne : sur le plan de la communication, le chocolat est alors associé à l'Afrique, où, en effet, d'importantes plantations ont été effectuées, ce qui permet de baisser les coûts d'importation depuis le Nicaragua où les Menier possèdent des terres.

La fortune des Menier est telle qu'Henri Menier, qui est par ailleurs maire de Noisiel, consacre une grande partie de son temps et de son argent à ses deux passions que sont le yachting et la course automobile. Il est le maître d'équipage qui chasse en Villers-Coterets.1877/1836. En 1895, il achète même l'île d'Anticosti dans le golfe du Saint-Laurent au Canada pour en faire une réserve privée de chasse et de pêche et y fonde Port-Menier. En avril 1913, il acquiert le domaine et le château de Chenonceau qui, à sa mort, au mois de septembre suivant, est transmis à son frère Gaston, qui revend l'île d'Anticosti à une compagnie forestière canadienne (Wayagamack Pulp and Paper Company) en 1926. La chocolaterie cesse d'innover tandis que débute la Première Guerre mondiale. Gaston meurt en 1934, ses fils Georges, puis Jacques, lui succèdent, mais le Front populaire fait perdre la mairie de Noisiel à la famille en 1938.

Après la Seconde Guerre mondiale, la firme commence à décliner, concurrencée par les barres chocolatées venues des États-Unis. Un an après la mort d'Hubert Menier (le troisième enfant de Georges) survenue en 1959, l'entreprise est contrainte de fusionner avec la société Rozan qui rachète la firme dans sa totalité en 1965. Deux ans plus tard, Antoine, le frère aîné d'Hubert et qui était cogérant de l'entreprise depuis 1953, meurt sans enfant à Paris, le 12 août 1967 à l'âge de 62 ans.

En 1971, Menier est rachetée progressivement par Rowntree Mackintosh (créateur des célèbres Smarties en 1937 et de la barre Lion en 1976), laquelle est acquise à son tour en 1988 par Nestlé. Le Moulin Saulnier est classé Monument historique en 1992.

Depuis 1996, le site Menier, au bord de la Marne, est le siège de la division pour la France de Nestlé.

La marque Menier subsiste encore grâce à ses tablettes de chocolat pâtissier, ainsi qu'au chocolat en poudre, mais elle n'est plus guère mise en avant, notamment parce que la marque n'est connue que sur le marché français. La multinationale lui préfère donc son produit « Nestlé dessert ».

:Philou:

Salut
Mon pere m'a appris a toujours me mefier des emballages...
Qui se souvient des urinoirs en tôle dans Paris et d'autres grandes villes ?
Vu la surface disponible, ils servaient de support publicitaire...
La majorité de ces urinoirs etaient donc couverts par une pub pour , justement, le chocolat Menier !!
Moralité, c'est pas parce que c'est ecrit dessus, que c'est ce qu'il y a dedans !!

Hector · Message non lu par **Hector** » 04 mai 2020, 19:57

Ménier... j'entends ce nom depuis toujours, ma grand-mère paternelle était la fille de leur maitre d'hôtel, et comme il avait un passé de navigateur, il exerçait sur les yachts de la famille : l'Almée et Bacchante surtout.

Puisqu'ils n'étaient pas en mer la plupart du temps, Henri Ménier lui avait acheté un café bar restaurant à Oudalle, en face de là où est l'usine Renault Sandouville, il existe encore, c'est toujours un restaurant.

Les trois filles Oursel bénéficiaient donc des commodités que les Ménier avaient sur le Havre, voiture hippomobile et cocher, des entrées dans tous les établissements chic de la ville, plus quelques autres "facilités", et des moyens financiers confortables pour l'époque.

Grand-mère Alice était intransigeante sur la prononciation : tout ce qui pouvait ressembler à "Meunier" se faisait remettre dans les clous illico, elle avait un musée personnel du chocolat Ménier, j'ai encore la Lanterne Magique et les photos sur plaques de verre d'Anticosti, la grande maison en bois construite sur place, les chasses au cerf et des vues de l'ile, du bateau et de l'équipage.

Je les ai copiées et expédiées au musée Local... ils n'avaient pas d'images d'avant 1914

Le chocolat Ménier a été prolixe en objets publicitaires, avec la petite fille. Alice en avait en linge de cuisine, en porcelaine, et en émail... malheureusement, la ville du Havre a été un peu revue entre 39 et 45, peu de choses ont survécu, il en reste quelques exemplaires .

L' édicule sur la photo, existait avec à peu près la même forme, en modèle réduit qui faisait distributeur de tablettes...
Il n'était pas en plastique mais en tôle mince, j'étais un très petit garçon, je l'ai achevé !

Crime de lèse-majesté, j'ai dû en entendre parler toute mon enfance !

Alice a eu deux garçons, elle a vécu 97 ans... le chocolat, çà conserve !

AOD · Message non lu par **AOD** » 04 mai 2020, 20:38

J'ai visité l'usine il y a quelques années avec mes enfants lors d'une journée du patrimoine. On habite pas loin et quand j'étais gosse, j'habitais la ville à côté. Il y a tout un quartier "ouvrier" juste derrière. C'est assez dépaysant sachant qu'on est en pleine ville nouvelle de marne la vallée et que tout est moderne autour.

Message non lu par **TheStone** » 04 mai 2020, 20:39

Hector a écrit : ↑04 mai 2020, 19:57 Grand-mère Alice était intransigeante sur la prononciation : tout ce qui pouvait ressembler à "Meunier" se faisait remettre dans les clous illico,

.... normal c'était "MENIER"

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 05 mai 2020, 08:34

Bonjour à tous!

St Laurent les tours (Lot)

Aujourd'hui

:Philou:

Hector · Message non lu par **Hector** » 05 mai 2020, 12:37

TheStone a écrit : ↑04 mai 2020, 20:39
Hector a écrit : ↑04 mai 2020, 19:57 Grand-mère Alice était intransigeante sur la prononciation : tout ce qui pouvait ressembler à "Meunier" se faisait remettre dans les clous illico,
.... normal c'était "MENIER"

Mais pendant des années, les deux ont coexisté..."Meu" jouant sur la ressemblance avec "Mé"... et c'est difficile à décrire, Alice avait des yeux bleus acier, un regard que je n'ai jamais retrouvé ailleurs, et dans les cas de "Meu", ce regard lançait des éclairs... médusants !

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 06 mai 2020, 08:24

Bonjour à tous !

Varaire (Lot)

Aujourd'hui

:Philou:

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 07 mai 2020, 08:52

Bonjour à tous !

Vayrac (Lot)

Aiguillon (47)

Aujourd'hui

:Philou:

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 07 mai 2020, 09:51

Aiguillon ( extrait de ville.aiguillon.eu )

Le site d'Aiguillon, bâti au confluent du Lot et de la Garonne, occupe
une importante position stratégique recherchée par de
nombreuses populations depuis l'âge néolithique. Les vestiges trouvés par les
archéologues attestent de la présence des gaulois sur le coteau de Pech
de Bère.

La situation géographique d'Aiguillon, au confluent du Lot et de la
Garonne a justifié la fondation de la ville, port fluvial et vicus au cours
de l'Antiquité gallo-romaine dont de nombreux vestiges sont encore
visibles : la tour gallo-romaine dite "la Tourasse", mais aussi, au bas
du château Lunac, un magnifique mur à contreforts et à voûtes
cintrées qui est le plus haut monument romain d'Aquitaine.

Aiguillon ( ville )
Ce haut lieu de la civilisation gallo-romaine était situé au croisement
des grandes voies romaines de la Ténarèze et de Aginensis
Burdigala (Agen-Bordeaux).

Le nom d'Aiguillon pourrait venir de "l'aiguille" (Vicus de Fines)
formée par la confluence du Lot et de la Garonne qui porte
toujours le nom de « Pointe ».

:Philou:

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 08 mai 2020, 09:01

Bonjour à tous !

Castelsarrazin

Aujourd'hui

:Philou:

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 09 mai 2020, 09:12

Bonjour à tous !

Caussade (T§G)

Aujourd'hui

:Philou:

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 10 mai 2020, 08:48

Bonjour à tous !

Aujourd'hui

:Philou:

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 11 mai 2020, 09:20

Bonjour à tous !

Caylus

Aujourd'hui: pas pu prendre dans le bourg

:Philou:

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 11 mai 2020, 15:16

A Caylus, on se plait à raconter que le célèbre personnage du « Bossu » de Paul Féval serait inspiré d’une légende locale, le chevalier de Lagardelle qui terrassa le Dragon de Livron.

Paul Féval, supposé ami des De Guérin, aurait trouvé lors d'un hypothétique passage à Caylus un décor à ses personnages dont la belle Aurore de Caylus...

Philou 33 · Message non lu par **Philou 33** » 12 mai 2020, 09:24

Bonjour à tous !

Finhan (82)

Aujourd' hui

:Philou:

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